À cœur ouvert : de vraies femmes parlent des maladies du cœur

Apprenez de leur expérience et protégez votre santé
 Tracy Bawtinheimer porte une veste violette en marchant dans un foret.

Tracy Bawtinheimer vit avec une insuffisance cardiaque.

Soyez au courant

Joannie Rochette, dont la mère est décédée d’une crise cardiaque 

« Les femmes prennent soin de leur famille. Elles pensent à leurs enfants et à leur mari avant elles-mêmes. Après le décès de ma mère, j’ai trouvé un petit papier dans son porte-monnaie où elle avait écrit les symptômes qu’elle ressentait. Elle avait une douleur à l’épaule, des engourdissements dans les mains, et sa vision était un peu trouble.

J’ai senti que je n’ai pas pu aider ma mère. Si parler un peu de son histoire peut aider une autre femme dans une situation similaire, mon implication prendra tout son sens. C’est ainsi que je peux honorer ma mère de la plus belle façon. »

An active life with heart failure, qui vit avec une insuffisance cardiaque 

« Je ne comprenais pas vraiment ce que “chroniqueˮ voulait dire, ni ce qu’était une insuffisance cardiaque, ni ce que ces choses pourraient signifier pour moi à l’avenir. Dans ma tête, je croyais que je pourrais retourner au travail et reprendre ma vie d’avant, et que tout irait bien. »

 
<p>Annie Richard,&nbsp;<span id="docs-internal-guid-9cff45a0-28e0-4450-550b-32959135519b">qui vit avec une maladie du c&oelig;ur</span></p>

Annie Richard, qui vit avec une maladie du cœur

 Écoutez votre corps

Nancy Bradley, qui a reçu son congé de l’hôpital après avoir signalé des signes de crise cardiaque

« J’invite les femmes à persévérer. Vous connaissez votre corps; faites confiance à votre instinct. À bien y penser, j’aurais dû insister auprès de l’urgentologue à ma première visite à l’hôpital. Je savais que quelque chose n’allait pas avec mon cœur. Je le sentais. »

Annie Richard, qui vit avec une maladie du cœur

« Lorsque je me suis réveillée avec des nausées et couverte de sueur, […] j’ai rationalisé mes symptômes […] je ne voulais pas réveiller ma famille. J’ai pris un autre cachet d’aspirine, je suis retournée me coucher et j’ai attendu que la douleur passe. À 39 ans, on n’est pas préparé à une crise cardiaque. Malheureusement, les maladies du cœur peuvent frapper n’importe qui, n’importe quand. »

Aidez les autres femmes

Patti Mersereau-Leblanc, qui a subi une crise cardiaque déclenchée par une DSAC (un problème qui affecte surtout les femmes)

« C’est incroyable à quel point on peut guérir en écoutant le témoignage d’autres personnes. »

Suzanne Arnold, qui vit avec une insuffisance cardiaque

« J’ai été surprise de retirer autant de la réadaptation cardiaque. […] J’avais peur et j’étais déprimée, mais je me sens mieux maintenant. Je me sens en contrôle. » 

 
<p>Beth Luhowy,&nbsp;<span id="docs-internal-guid-9cff45a0-28e1-158b-e38c-fb93ffd53f49">qui a suivi un programme de r&eacute;adaptation cardiaque</span></p>

Beth Luhowy, qui a suivi un programme de réadaptation cardiaque


Prenez le temps de vous soigner

Beth Luhowy, qui a suivi un programme de réadaptation cardiaque

« Je me sentais très égoïste lorsque je faisais quelque chose uniquement pour moi. C’est seulement en effectuant le programme que je me suis rendu compte qu’il serait plus égoïste de ne pas le faire. Je ne serai utile à personne si je ne prends pas soin de moi-même. »

Esther Sanderson, qui a bénéficié d’une transplantation cardiaque

« Avoir un mode de vie sain implique de vivre de façon holistique, de s’occuper de son bien-être physique, mental, spirituel et émotionnel. »

Annie Richard, qui vit avec une maladie du cœur

« La maladie m’a poussée à retrouver ma voie et à imposer mes limites. Je me sens bien et heureuse. La maladie me guettera toujours, mais j’ai appris avec vivre avec elle. Contrairement à la croyance populaire, il peut y avoir une vie après une crise cardiaque. »