Le 150e anniversaire du Canada nous donne toutes sortes de raisons d’exprimer notre fierté et notre gratitude. Il est temps de célébrer le fait que nous pouvons accomplir des choses incroyables lorsque nous travaillons ensemble pour appuyer la recherche sur les maladies du cœur et l’AVC. Un donateur peut subventionner un chercheur à l’autre bout du pays, ce qui génère des retombées dont nous pouvons tous profiter. Laissez ces trois membres de la famille Cœur + AVC vous montrer ce que nous pouvons accomplir.
À Vancouver, une donatrice engagée nomme Cœur + AVC comme bénéficiaire dans son testament
Chaque mardi et jeudi, vous trouverez Ann Douglas afférée dans un cubicule du bureau de la fondation dans sa région, en Colombie-Britannique.
Depuis 15 ans, Ann fait du bénévolat dans tous les sens du terme pour soutenir l’organisme qui lui tient à cœur. Elle est si déterminée à soutenir la recherche qui sauve des vies qu’elle a nommé Cœur + AVC comme bénéficiaire dans son testament.
« Cet argent servira à une cause à laquelle je crois », explique Ann. « Il protégera les prochaines générations contre les crises cardiaques et, je l’espère, leur apprendra à mieux prendre soin de leur santé. Vous n’avez pas besoin d’être multimillionnaire pour faire un don. Tout le monde peut le faire. »
À Halifax, un chercheur s’attaque à une importante cause de mortalité
Le problème : Chaque année, jusqu'à 35 000 personnes au pays meurent d’un arrêt cardiaque soudain, qui est habituellement causé par un rythme cardiaque irrégulier connu sous le nom de tachycardie ventriculaire (TV). Il n’existe que deux moyens efficaces pour prévenir une TV : la pharmacothérapie et une procédure chirurgicale appelée ablation par cathéter. Malheureusement, les deux comportent des risques et il est difficile de déterminer lequel de ces deux traitements devrait être le traitement de première ligne.
La solution : Les travaux menés par le Dr John Sapp, du Centre cardiaque des Maritimes du Centre des sciences de la santé Reine-Elizabeth II, permettront de comparer les deux traitements en les attribuant au hasard à 75 patients ayant des antécédents de crise cardiaque et de VT. Ils permettront de démontrer la faisabilité d’une étude beaucoup plus vaste qui apportera une réponse définitive sur le meilleur traitement à suivre. Un suivi régulier des patients permettra aux fournisseurs de soins de santé d’offrir aux personnes à risque la meilleure chance de survie et de rétablissement.
À Toronto, un survivant d’un AVC redonne à la communauté
Ce qui est arrivé à Paul Morse peut arriver à chacun d’entre nous. Il a subi un AVC grave à l’âge de 61 ans qui a eu des conséquences dévastatrices sur sa vie et lui a demandé des années de réadaptation avant de se remettre sur pieds.
Heureusement, l’un des principaux piliers de la mission de Cœur + AVC est le rétablissement. Les chercheurs étudient comment l’exercice peut favoriser la récupération. Aujourd’hui, Paul est actif et fait de la randonnée en vélo adapté.
Bien que sa vie ne soit plus la même, il pense avoir beaucoup de chance. En tant que dévoué bénévole de Cœur + AVC, il participe à la Randonnée du cœur tous les ans, et il parle publiquement de son rétablissement. « J’ai été capable de recoller un grand nombre de morceaux, et l’appui que j’ai reçu de Cœur + AVC est simplement indescriptible », explique Paul.