Toute la population a le droit de vivre en santé, à l’abri des maladies du cœur et de l’AVC
L’égalité et l’équité sont importantes. Le colonialisme a créé les conditions qui ont mené aux graves disparités en matière de santé qui touchent les peuples autochtones au pays. La réconciliation signifie travailler ensemble pour remédier aux écarts dans les déterminants sociaux de la santé.
Lisa Meeches, militante autochtone et productrice de films, explique comment les liens de parenté et le retour à la terre peuvent faire toute la différence à la suite d’un AVC.
Lisa Meeches, militante autochtone et productrice de films, explique comment les liens de parenté et le retour à la terre peuvent faire toute la différence à la suite d’un AVC.
Le groupe consultatif sur la réconciliation, par son expertise, ses conseils et ses recommandations, joue un rôle vital dans la promotion du programme de réconciliation. Comprendre la diversité des perspectives autochtones signifie qu’il n’y a pas de préjugés et que l’approche est, dès le départ, transparente, sincère et respectueuse.
Le programme Jeunes Cœurs rythmésMC, en partenariat avec les communautés autochtones, offre aux éducateurs, aux élèves et aux familles des outils gratuits d’aide à l’éducation à la santé cardiaque, cérébrale et globale, dont des manuels d’activités en couleur, des activités mensuelles à faire en classe ou à la maison, et une banque de vidéos créée avec des artistes autochtones et des conteurs.
Selon le Dr Jeff Reading, la collaboration et la recherche sont essentielles pour résoudre les disparités en matière de santé.
Esther a trouvé la force et la santé dans les traditions autochtones après une transplantation cardiaque qui lui a sauvé la vie.
Une combinaison de médecine traditionnelle et occidentale a aidé Lisa à se rétablir d’un AVC.
L’ancien sénateur Murray Sinclair confie que son AVC lui a ouvert les yeux sur son obligation de s’occuper davantage de sa santé.
Kevin Starlight s’est rétabli d’un AVC grâce à sa propre force et au soutien de sa communauté.
La santé cardiaque et cérébrale des peuples autochtones est bien plus précaire que celle de la population générale du pays. De plus, les déterminants de la santé et l’accès aux soins alourdissent cette situation critique.
