Mark Friesen, qui vit avec les séquelles d’un AVC, en compagnie de son épouse.

AVC

Courage et gratitude

Mark Friesen reconstruit sa vie après un AVC, un élan à la fois.

Mark Friesen menait une vie trépidante lorsqu’un AVC l’a freiné dans son élan. Grâce à une intervention révolutionnaire, au soutien de sa famille et à des traitements continus, son rétablissement avance bien.

Mark joue au golf.

Le golf est une des nombreuses passions de Mark.

Mark chez lui, dans son jardin.

« Chaque petit pas vers l’avant compte plus qu’on ne le pense. » – Mark­

Mark en moto tout-terrain sur un sentier panoramique.

Mark aime les sensations fortes que procure la moto tout-terrain.

À 55 ans, Mark Friesen était un cadre actif et en santé, passionné de golf et de moto tout-terrain. À peine deux jours après son retour d’un voyage d’affaires en Corée du Sud et en Thaïlande, alors qu’il élaguait les arbres devant sa résidence, Mark ne se doutait pas que tout allait changer. Il s’est arrêté pour passer un moment tranquille avec son épouse Quinn, et son fils Alex, puis sa vie a basculé.

« J’ai subi un AVC », se souvient Mark. « En un instant, plus rien n’était pareil. Je ne pouvais plus parler. Je n’arrivais même pas à dire mon nom ni ma date de naissance. C’était terrifiant. »

Mark a alors été transporté d’urgence à l’Hôpital général de Vancouver. Il avait un trou entre les cavités de son cœur, ce que l’on appelle un foramen ovale perméable (FOP). Les médecins ont découvert qu’un caillot sanguin était passé par cette ouverture et s’était rendu dans son cerveau, ce qui a provoqué un AVC ischémique. Ils ont agi rapidement et ont effectué une thrombectomie endovasculaire pour rétablir la circulation du sang dans son cerveau.

Un an plus tard, Mark a subi une intervention chirurgicale pour fermer le trou dans son cœur et ainsi éliminer le risque qu’un autre caillot se rende à son cerveau. Depuis son AVC, il est atteint d’aphasie, un trouble du langage qui nuit à sa capacité à parler. Chaque journée comporte son lot de défis. Quinn l’aide souvent à formuler ses pensées et à compléter ses phrases. Leur amour et leur soutien mutuel ont été essentiels pour qu’ils puissent s’adapter à cette nouvelle réalité.

« C’est stressant », dit Mark. « L’orthophonie m’a aidé à mieux communiquer, mais c’est encore difficile. »

Malgré ces obstacles, le rétablissement de Mark est marqué par sa détermination à recommencer à faire ce qu’il aime. Il est de retour sur le terrain de golf, mais il se plaît à dire à la blague que son crochet extérieur va vers la gauche et vers la droite. C’est différent. Il a également recommencé à faire de la moto tout-terrain. « Je peux encore jouer au golf et sentir le vent sur mon visage, cela me rend heureux. »

Même si sa main et son pied droits ne sont pas aussi forts qu’avant, Mark continue d’avancer. « Retrouver la santé n’arrive pas d’un coup, explique-t-il. C’est graduel, ça se produit un moment à la fois, étape par étape. Il suffit de ne jamais abandonner. Chaque petit pas vers l’avant compte plus qu’on ne le pense. »

En un instant, plus rien n’était pareil. Je ne pouvais plus parler. Je n’arrivais même pas à dire mon nom ni ma date de naissance. C’était terrifiant.
Mark Friesen

Écoutez Mark parler de ce qu’il aime faire pendant son rétablissement après un AVC.

Dernièrement, Mark et Quinn ont eu l’occasion de remercier le Dr Michael Hill, l’un des médecins qui ont mené des recherches révolutionnaires sur la thrombectomie endovasculaire dans le traitement de l’AVC. C’était dans le cadre de l’enregistrement d’une vidéo touchante pour Cœur + AVC.

« Je suis encore là. Je poursuis ma guérison. Et j’en suis tellement reconnaissant », témoigne Mark.

Image de scan du cerveau

AVC : réussir l’impossible

Le Dr Michael Hill, professeur de neurologie, s’est attaqué aux formes d’AVC les plus graves, qu’on croyait impossibles à traiter. Grâce aux avancées réalisées par son équipe et lui en matière de thrombectomie endovasculaire, une personne qui subit un AVC ischémique en 2025 n’est plus automatiquement condamnée à mourir ni à perdre son autonomie. Aujourd’hui, beaucoup de gens vivant avec les séquelles d’un AVC peuvent retourner au travail, mener une vie active et partager des moments importants avec leurs êtres chers.

Découvrez ses recherches

Dr Michael Hill, chercheur subventionné par Cœur + AVC
Les recherches du Dr Hill ont permis de radicalement diminuer le nombre de décès liés à l’AVC, et de donner l’espoir de mener une vie bien remplie aux personnes qui en subissent un.
Autrefois, l’AVC était considéré comme impossible à traiter. Le Dr Hill a contribué aux progrès de la thrombectomie endovasculaire, et a donné de l’espoir aux personnes qui subissent un AVC ischémique.
Donner
Donald Mumby vit avec les séquelles d’un AVC

Un traitement novateur a aidé Donald à retrouver son autonomie après un AVC à 26 ans.

Melissa vit avec les séquelles d’un AVC

Melissa avait 28 ans lorsqu’elle a subi un AVC. Grâce aux avancées de la recherche, elle a terminé ses études universitaires et travaille maintenant dans le domaine de ses rêves.

John Vipond en compagnie de son épouse, Barb.

Le souhait de John est devenu réalité : il a pu conduire sa fille à l’autel grâce à un traitement révolutionnaire de l’AVC.

NNatalie Scott Chin, qui vit avec les séquelles d’un AVC, à la remise des diplômes de sa fille, Jaya.

La thrombectomie endovasculaire a permis à Natalie d’écrire de nouveaux chapitres de sa vie : elle a publié un livre pour enfants, repris l’enseignement et assisté à la graduation de sa fille.

 
Mark Friesen vit avec les séquelles d’un AVC

Mark peut à nouveau prendre son élan sur les parcours de golf et faire de la moto tout-terrain grâce à un traitement avant-gardiste de l’AVC.

Amanda vit avec les séquelles d’un AVC

La plus importante victoire d’Amanda, qui s’est rétablie d’un AVC grâce à un traitement de pointe, ne concernait pas son corps : c’était de revoir ses enfants et de les reconnaître à nouveau.